Le Clan MacIver France
 

 

 

 

L'histoire du clan McIver en Ecosse

Le clan Iver, connu sous le nom de clan Iver Glassary, de Glassary dans la comté d'Argyll, sont prétendus avoir fait partie de l'armée d'Alexandre II qui a conquis Argyll en 1221, et pour leurs services rendus, a reçu des terres dans le comté. Ces terres se trouvaient dans la zone de Glenlyon, et dans Argyll leurs principales possessions étaient Lergachonzie et Asknish, et d'autres terres dans Glassary et Cowal.

On affirme l'histoire du clan après que leurs terres de obtention dans Argyll soit très obscure, et que dans les treizièmes branches de siècle du famille laissé Argyll et arrangé dans Lochaber, Glenelg, et Ross, et il s'avéreraient que le Macivers étaient pendant quelque temps un clan « cassé », mais dans 1564 ils semblent avoir récupéré une partie de leur ancienne force pendant en cette année Archibald, le 5ème comte d'Argyll, ont renoncé à toutes les réclamations aux calps du clan l'un des Iver, Iver de Lergachonzie acceptant de donner au comte son propre calp.

Duncan, qui a réussi comme chef du clan environ 1572, est décrit en date de Stronshiray et de supérieur de Lergachonzie. En 1685 Iver d'Asknish et de Stronshiray a été renoncé pour faciliter Archibald, le 9ème comte d'Argyll, dans la rébellion. Après la révolution de 1688, Archibald, le 10ème comte, a reconstitué les domaines d'Iver à son fils Duncan Maciver à condition que lui et ses héritiers soutiennent le nom et les bras de Campbell. Iver était ainsi le dernier chef du Macivers, et monsieur Humphry Campbell qui est mort en 1818 était le bout dans la ligne masculine de Duncan Maciver de Stronshiray.

Toutes les branches du clan dans Argyll semblent avoir assumé le Campbell nommé, mais ceux dans le nord et en Lewis ont maintenu le nom de Maciver avec une plus grande ténacité.

 

 

 


Au 13ème siècle Iver Crom a possédé quelques terres dans Argyllshire et s'est réclamé lui a conquis les terres de Cowal pour le Roi Alexandre II. Il a possédé les terres d'Asknish, de Lergachonzie et de Glassary dans Cowal. Son fils ou fils, Malcolm MacIver a eu des terres en 1292 et Iver environ 1500 MacIver de Lergachonzie était chef du clan. Il a eu trois fils ; Duncan, Charles et interdiction d'Iver. Un descendant de Charles avait environ 1572 ans en chef et a été indiqué « d'Asknish et de Stronshiray ». Son fils, Iver, a été renoncé en 1685 pour sa partie dans la rébellion par Archibald, le 9ème comte d'Argyll.
Après la révolution dans 1688 le 10ème comte a reconstitué les domaines du clan Iver à Duncan, fils d'Iver, à condition que lui et les héritiers de la famille de MacIver assument le nom et soutiennent les bras de Campbell. Monsieur Humphray Trafford Campbell qui est mort en 1818 était le dernier descendant masculin de Duncan MacIver de Stronshiray. D'autres familles de MacIvers ont assumé le nom de Campbell comprenant le MacIvers d'Ardlarach qui également a adopté le nom à environ 1688, le MacIvers de Pennymore sur le loch Fyne, le MacIvers de Glassary et le MacIvers de Ballochyle. Le MacIvers dans la région de Gairloch descendent d'un MacIver de la région d'Argyll, une partie du MacIvers de ce secteur est resté MacIvers tandis que d'autres changeaient leur nom en Campbell.

Apparemment, les MacIver seraient originaires du district de Glen Lyon, dans le comté de Perth. Mais ils suivirent l’armée d’Alexandre II vers l’ouest lorsque celui-ci décida de réprimer une révolte dans le comté d’Argyll en 1221. L’ouest étant toujours sous la tutelle de la Norvège, le roi s’employa à installer ses partisans dans la région. Il octroya donc aux MacIver des terres à Lergachonzie et asknish. On possède peu d’informations sur eux pendant les siècles suivants ; le clan semble avoir été démantelé pendant quelque temps. En 1688, les MacIver furent contraints de prendre le nom de Campbell, mesure punitive aux Iver d’Asknish pour avoir participé à une rébellion. » « Le motif est apparu pour la 1ère fois dans The scottish clans and their tartans (1881) »

Iain Zaczek : Clans et tartans d’Écosse ; p. 86 ; éd. Koënmann ; Cologne ; 1999
 

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En court de recherche et d'approfondissement...

 

Au 20ème et 21ème siècles en France

Joanne Mc Iver nièce d'Anne McIver, petite fille de Malcom McIver du Lochs (descendant direct de Donald McIver). Elle a commencé la cornemuse à 6 ans. Elle aurait voulu apprendre la flûte mais il n'y avait pas de professeurs sur l'Ile d'Arran. Le seul choix à l'époque était la grande cornemuse ou la caisse claire au sein d'un pipe band. Elle a donc chois la flûte, étant l'instrument se rapprochant le plus de la flûte traversière.

A l'âge de 11 ans, elle a pu prendre des cours de piano, puis - miracle - un professeur d'instruments à vent a été embauché sur l'île. Il venait une fois par semaine depuis Kilmarnock par le ferry. Elle a pu apprendre la flûte à partir de l'âge de 12 ans.

A cette époque, elle était très attirée par la musique classique, et a décidé de faire des études de musicologie à l'université de Glasgow (de 1989 à 1993) où elle s'est spécialisée en flûte traversière et composition. Puis après l'université, elle a réalisé qu'en fait, elle ne voulait pas travailler dans la musique classique. Un peu perdue, elle eut l'opportunité de travailler dans l'administration de l'orchestre national d'Ecosse, c'est là qu'elle fit la rencontre de Christophe Saunière. 

Ensuite, elle est arrivée en 1995 en France où elle a commencé sa vie professionnelle par des petits boulots comme garde d'enfant après l’école, puis elle a travaillé dans une boutique de vente de disques/CD's.

Ensuite, elle trouve un travail dans une maison de publicités (horrible – elle déconseille ce travail à tout le monde, mais il lui a été bénéfique pour son français), pour finir ensuite dans une maison d’éditions musicales. Pendant tout ce temps, elle joue de la musique, cornemuses, flûtes, pour des mariages, des enregistrements ou des petits concerts avec son époux Christophe Saunière, mais suffisamment pour entrer dans le monde de l'intermittence du spectacle. Elle se sentait très frustrée depuis son arrivée en France, car son rêve était de vivre de la musique.

Tout ceci jusqu'en 2000 quand Eilidh, sa fille, est née, et elle a alors pris un congé parental avec le but de travailler à nouveau ses instruments et sa musique et monter un duo avec Christophe Saunière son époux. Lors de son congés maternité, la maison d'éditions pour laquelle elle travaillait avait été obligé de restructurer e elle a été licenciée.

Ce licenciement sera plutôt un bien pour elle puisqu'elle avait l'intention de quitter ce travail pour mener une carrière d'artiste aux côtés de son époux Christophe Saunière.

Le duo a commencé par faire surtout de l’évènementiel avec une boite qui s’appelait « Terre d’Ecosse », mais qui n’existe plus à ce jour, et petit à petit ils ont pu aller plus vers les concerts.  Aujourd'hui, Joanne partage son temps entre la composition, les enregistrements, l'enseignement et les concerts à travers le monde. Elle composera  un recueil de mélodies pour la cornemuse. . . qui deviendra finalement un disque intitulé Leaving Arran. De nombreux concerts suivent la sortie du CD, tant en France qu'à l'étranger (il y aura une tournée en Ecosse).

Sur scène, Joanne joue de la grande cornemuse (highland bagpipes), la cornemuse de chambre (Scottish smallpipes), la flûte traversière, les flûtes irlandaises et elle chante en gaëlique et en écossais.
En 2004 un autre album s'ensuit, The Dwarfie Stone, là aussi ne figurent que des compositions de Joanne , puis en 2006 le troisième album "Glenfinnan to Glasgow". Elle travaille à présent sur un nouveau projet de conte de son île natale illustré musicalement par des compositions personnelles.

Joanne est la sonneuse de l'Ambassade de Grande-Bretagne à Paris.
Il y a quelques années, sur leur chemin de bohème, le duo fini par croiser le chemin d'une personne passionnée par leur musique, Christophe Bertandeau qui deviendra l'un de leurs amis. Voulant honorer cette grande amitié qui les lient non pas par le sang mais par le coeur et grâce à son enthousiasme pour la culture écossaise, il propose à Joanne de créer le Clan McIver en France.

A ce jour, le clan compte en France, 5 membres officiels. Nous serions heureux de pouvoir l'élargir encore.

McIvers de France ou d'ailleurs (de sang ou de coeur), vous ressentez votre âme avoir le besoin d'appartenir à ce clan? Manifestez-vous en nous contactant à clan.mciver@free.fr .

Tartans McIver

Arbre généalogique non très éclairé pour le moment :

Joanne McIver et Christophe Saunière

Photos et vidéos

Liens

Les membres du clan :

Christophe Saunière :

Harpiste talentueux et réputé, son parcours est atypique...

Après avoir joué dans les principales formations symphoniques françaises (
Orchestre de Paris, Orch. national de Lyon, Orch. de Bordeaux-Aquitaine, Lamoureux...) tout en jouant de la basse et de la batterie dans divers groupes rock, il devient ensuite le Harpiste de l'Orchestre National d'Ecosse, où il prend résidence pendant 5 ans.

Il en profite pour redécouvrir ses racines celtes et accompagner la sonneuse de cornemuse
Joanne Mc Iver, tout en enchaînant les tournées en Europe, au Japon et aux USA.

Vivant maintenant en France, il se consacre aux compositions de
Joanne McIver, séances d’enregistrements, Jazz, musique classique, World, il a joué
dans les principales formations de musique contemporaine européennes (
EIC, Court-circuit, Klangforum Wien...)...

Son CV est impressionnant... il fut notamment le Harpiste des B.O. des films
"
Star Wars, épisode 1", "Titanic", "Le Patient Anglais", "Alien 4" etc...
Il a enregistré une soixantaine de disques ! On peut même le voir jouer la comédie dans le film de
Philippe Béziat " Musica da camera".

Calum McIver :

Fils ainé de Joanne McIver et de Christophe Saunière.

Eilih McIver :

Fille cadette de Joanne McIver et Christophe Saunière.

Christophe Bertandeau :

Ami de Joanne et Christophe, élève sonneur de cornemuse écossaise, et sonneur de gaita galicienne.

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